Dans tout ce qui détruit, il y a la naissance
Il y a ce cri du cœur, ce mot qui dit adieu,
Je me rappelle hier et mon choix de décence
Que cela fait longtemps, que je ne suis heureux.

Dans tout ce qui renait, la mort est une essence
Qui imprègne le bois, comme l’odeur du feu,
Revenir en arrière, cela ne ferait sens
Mais au moins, cruel, je ne serai malheureux.

Je reprendrai la cape, et les gants et mes armes
Je cesserai d’aimer et sècherait mes larmes
Pour pouvoir relever ce dandy méprisant

Souviens toi de cet ange, souviens toi aujourd’hui,
Que tes mots redeviennent la douleur ressentie
Et que 15 ans après, ce connard soit vivant.

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