Sur la route nous cheminons, seul ou par deux
À passer hier et à voir demain, mourir
Ce n’est pas comme si nous nous voyons partir
Et pourtant tel Orphée, ne tourne pas les yeux.
Devant toi, ce n’est plus qu’un sentier pierreux
Où tes pieds incertains dansent pour en finir
Contre l’Appel dernier, tu joues à mentir
Et c’est face à toi même qu’il faudra être heureux.
Depuis longtemps la piste s’est interrompu,
Toujours debout… bravo. Mais, dis moi, où vas tu?
C’est la falaise devant toi, choisi maintenant!
Cent fois tu as voulu, il te suffira d’Une
Qu’au matin on recouvre ton corps sur les dunes.
Ou détourne toi et laisse couler le Temps.