Savez vous qu’à vos lèvres, j’ai trouvé un plaisir,
Celui d’à votre chair arracher des frissons.
Sous vos cheveux de feu, je glisse avec passion
Des caresses insistantes qui vous ont fait frémir.

De votre peau d’albâtre, que j’aime à faire rougir
Votre corps se débat recherchant la raison
Mais si je vous retiens, ardent petit charbon,
Vous cueillez mes baisers, pour voler mon désir.

Vous avez la jeunesse, insolente parure,
Qui donne à nos combats, un parfum de nature,
La joie ensauvagée emportée par l’instant.

Je contemple ton corps, dormant contre le mien,
Admirant la beauté, la courbe de ton sein,
Ce charme délicat du plaisir et du sang.

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