Me faut-il te le dire, ce que tu as su voir?
Où dans mes yeux sombres, tu portais la lumière
En ce jour de juillet, dans l’orage du soir
La douleur s’est imposé à mon cœur de colère.
Levant dès lors les yeux, à mon nouveau soleil
Et rougissant un peu, sous ton regard d’azur,
Un instant, je le sais, rien ne sera pareil
Crucifié d’émotions, rien ne sera plus sûr
Sans contrainte, j’ose parler, de ce sentiment
Comme tu as pu le voir, il reste présent
N’as tu pas en ton sein le doute révélé?
Laisse moi t’éclairer, car en alexandrins,
J’ai tourné, détourné, mais je puis dire enfin
Que ma passion réelle est de te taquiner!