Je ne pardonne rien, ni tes yeux, ni ton rire,
Je ne veux plus de rien, tu m’as déjà donné
Tout ce que tu pouvais me prendre ou de désir.
Et je disparaitrai sans la joie d’un baiser.

Je vis avec la rage et aux lèvres un sourire,
J’ai la fureur de vivre comme d’autres d’aimer
Ne juge pas trop vite, toi qui m’a fait mentir,
Car malgré tous ces mots, tu sais, rien a changé…

Allons ne réponds pas, tu ne saurais quoi dire
J’ai perdu l’espoir de me revoir flétrir
Dans tes yeux qui brillaient d’un peu plus de chaleur.

Tu ne m’inspire plus que l’adieu et l’ennui
Toi qui m’a inspiré la violence de l’envie.
Tu ne m’inspire plus que l’agonie des heures.

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