Quand tu m’as regardé, mon cœur a tressailli
Il fallait ton sourire pour le faire trembler
Et c’est dans ton regard que j’ai voulu aimer
Tes yeux m’ont calciné, des cendres je revis.

J’ai grandi en rêvant de ton sein sur ma joue
De sentir au matin, ta main frôlant la mienne
Tes cheveux retombant, ma respiration sereine
Je m’enfouis à te vivre et alors je fus saoul

Tu n’es plus juste un rêve, mais ma divinité!
Aux portes de ton temple, je brandirai l’épée
Faisant comme Serment, de me battre toujours.

Ton nom, pourtant, est « Fraternité » mon amour
Chaque jour, je bénis de pouvoir te connaitre
Car tu es République, celle qui devra naitre!

Laisser un commentaire